Activités


Présentation
Asociace pro rovne prilezitosti (l’Association pour l’égalité des chances) a été fondée en 1999 en tant qu’organisation parapluie de plusieurs ONG tchèques des femmes après la Révolution de velours de 1989. Elle rassemble 15 organisations, dont plusieurs ont des filiales sur l’ensemble du pays (i.e. Les femmes social démocrates – 4500 membres, les Femmes Chrétiennes – 500 membres, les Femmes de Gauche – 3000 membres, le Réseau des Mères – 300 centres).

L‘objectif de l’association est de contribuer au renforcement de l’égalité des chances en République tchèque et de diffuser de l’information sur ces questions dans le pays.

Voici quelques projets d’importance de l’Association :

Sur la route européenne – guide pour les femmes mais pas seulement (série de séminaires pour les femmes dans tout le pays, 2003)

Plus de femmes en politique : avons nous besoin d’une loi sur la parité ? (série de séminaires pour les femmes politiques au niveau municipal sur l’ensemble du pays, 2005)


Ano Pro Evropu est une organisation non gouvernementale avec les objectifs suivants :

Faire de l’Europe un « espace partagé » le plus possible dans les débats nationaux, plutôt qu’un domaine de lutte partisane

Sensibiliser aux bénéfices d’une attitude positive d’un engagement dans l’Union européenne, y inclus le besoin d’éviter une focalisation sur l’élite

Promouvoir l’idée que l’adhésion est importante pour tous les groupes et communautés – que l’Europe c’est « nous » et pas « eux »


Mis à part ces objectifs généraux, Ano Pro Evropu met en place des projets avec des objectifs plus précis tels :

Améliorer la compréhension de l’opinion publique sur l’engagement tchèque au sein de l’Union européenne

Promouvoir un engagement constructif dans la plupart des questions d’importance tels les sujets socio-économiques et leur importance dans la culture démocratique tchèque
Conférence
Le 5 mai la Fondation pour l’égalité des chances, la Fondation Ano pro Evropu, en collaboration avec la Fondation Robert Schuman et avec le soutien de la Commission européenne, organisent une conférence d’une demi journée au Sénat tchèque intitulée : « Les femmes dans la vie publique ».

La conférence est organisée sous le patronage de la vice-présidente du Senat tchèque, Alena Gajduskova et engendra une discussion sur la situation des femmes en politique en République tchèque, sur les expériences des femmes politiciennes et sur l’opportunité de la mise en place des quotas.

Les propositions d’amélioration de la parité en politique en République tchèque seront publiées sur le site après la conférence.

Vers le site de Asociace pro rovne prilezitosti






Vers le site de Ano






Conclusions de la Conférence
La conférence “Les femmes dans la vie publique a eu lieu dans le Hall du Sénat de la République tchèque le 5 mai de 10 à 14h.

La conférence a été organisée en coopération avec Mme Alena Gajduskova, première femme Vice-présidente du Sénat et facilitée par l’aide de Mme Michaela Marksova Tominova, Présidente de l’Association pour l’égalité des chances.

Après la conférence un autre événement a continué la manifestation : une réunion de personnalités tchèques intitulée “Les femmes dans la crise globale”, autour de l’écrivain et sociologue tchèque résidante allemande, Mme, Alena Wagnerova.

Recommendations et conclusions des discours et de la discussion avec la salle

Les réponses à la question : “Quelles mesures pourraient améliorer la situation des femmes dans le processus décisionnel en République tchèque ?” ont été multiples :

- Les femmes se concentrent sur des sujets particuliers, généralement ceux négligés par les hommes politiciens tels les questions de famille, les droits des enfants, les personnes agées et grâce à ces sujets elles arrivet à travailler à l’intérieur des partis politiques - avec le temps les femmes vont trouver leurs place en politique, les hommes comprendront l’importance de leur présence et leur donneront des places éligibles sur les listes électorales

- Comme le montre l’expérience du parti CSSD (le seul qui a mis en place des quotas) les quotas internes et les discussions sur cela n’aoutiront pas automatiquement sur un plus grand nombre de femmes sur les listes électorales. Des quotas légales doivent être introduites afin de faire entrer pus de femmes au Parlement.